ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers.

Invité

© DAMNPRECIOUS23 @ TUMBLR.

io sono quel che sono;

NOM: GAGLIARDINI.
PRÉNOM(S): Esmeralda.
DATE & LIEU DE NAISSANCE: Quatorze novembre 1985 à Milan.
ÉTAT CIVIL: En couple.

abitudine tra noi;

Elle vient de Milan, mais elle connait le coin mieux que personne.

La famille est quelque chose de très important à ses yeux et une valeur sûre.

Elle n'a pas froid aux yeux. Absolument pas.

Elle adore les animaux, sauf les chats.

Elle a même une tortue, même si elle ne s'en occupe pas vraiment.

La jeune femme croit qu'elle sait parler espagnol, alors que tout ce qu'elle dit ne signifie absolument rien, ce sont des mots tout droit sortis de son imagination débordante.

Elle n'aime pas parler de ses échecs.

Le moonwalk, ça la connaît. Le chant et la guitare également.

Petite, elle avait peur de Dumbo.

Aujourd'hui, des personnes avec de grandes oreilles: ridicule mais vrai.

Elle sait manier un fusil mieux que personne.

C'est un vrai danger public en voiture.

Elle mémorise très facilement les numéros de téléphone ou même les noms et ce, seulement après une première écoute ou lecture. Alors quand elle a besoin de quelqu'un, à n'importe quelle heure de la nuit ou de la journée, elle appelle grâce à sa mémoire ultra-développée pour les numéros.

chi sono io, chi sei tu;

AVATAR: Ashley GREENE. I love you

PSEUDONYME: Rag Doll.
AVIS SUR FAC: I love you

COMMENTAIRE(S): Love y'all. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 665740

Invité

vita mia, ho sofferto con te;

ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 14j2hra

« Esmée... je t'aime tu sais ? Pourquoi est-ce que tu ne veux pas l'accepter ? » « Cesse donc de raconter des sottises, tu es en couple, moi aussi. Tu es mon meilleur ami et ça s'arrête là. Évitons de compliquer les choses. Et puis... j'aime Lorenzo. » Vittore Gribaudi, meilleur ami d'Esmeralda Gagliardini depuis bien des années maintenant. Jeune homme dont elle a été amoureuse toute son adolescence sans que celui-ci ne s'en rende compte un jour. Elle a tenté de l'oublier, de ne voir en lui qu'un proche ami, et bien qu'elle prétende avoir réussi, elle sait bien au plus profond d'elle-même, que cette histoire est loin d'être terminée. Elle tente au mieux de cacher ses sentiments tandis que son meilleur ami lui avoue clairement ses sentiments, en aparté, alors que leurs petits amis respectifs sont à leurs côtés. Évidemment, la jeune Gagliardini ne sait jamais que penser de ces nombreuses déclarations. Elle ne sait pas si c'est l'alcool qui le fait parler ou s'il ressent vraiment plus que de l'amitié pour sa meilleure amie. Alors à chaque fois qu'il commence à divaguer, à lui dire qu'il aime, elle ferme les yeux, évite la question et tente de changer de sujet de conversation. Elle lui répète bien souvent que ce petit jeu ne l'amuse plus, si c'en est vraiment un, mais il n'a pas l'air de vouloir comprendre, elle sait donc couler et passe à autre chose. Sans oublier que Vittore a de gros soucis avec l'alcool... ceci n'arrangeant rien à la situation actuelle entre les deux jeunes gens. Esmeralda évite sans cesse le sujet et pourtant les déclarations enflammées dont il lui fait part sont des mots qu'elle a toujours attendu de lui qu'il prononce quand il est avec elle. Cependant, elle préfère éviter de se faire des illusions et tente tant bien que mal d'être réaliste et de se préoccuper davantage de son couple, sans oublier que Vittore lui-même a déjà une petite amie. Si les sentiments de Vittore à son égard étaient sincères, elle ne pourrait quand même pas accepter d'être sa petite amie, car elle ne voudrait pas être à l'origine de la rupture entre son meilleur ami et la petite amie de ce dernier. Briseuse de couples, ce n'est pas un qualificatif qui lui irait très bien. Et puis même si ces dits sentiments étaient sincères, elle aurait tant aimé qu'il s'en aperçoive quelques années auparavant. Quand elle n'était pas avec Lorenzo, quand elle ne s'intéressait à aucun autre homme, quand il était le seul et l'unique, celui avec qui elle se marierait, celui avec lequel elle fonderait une famille, celui avec lequel elle s'imaginait vivre et finir sa vie. Le seul et l'unique, oui. A présent, elle ne peut cesser de penser que c'est trop tard, que tout est bel et bien terminé, mais il s'obstine à lui prouver le contraire. Son esprit soulève de nombreuses interrogations, lui pose des barrières que son cœur a parfois bien du mal à ne pas franchir... mais elle résiste. Il n'a pas le droit de faire d'elle une jeune femme faible.

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« J'ai quelque chose à te demander. » Il s'avança d'un pas mal assuré et pourtant, il semblait déterminé à obtenir ce qu'il souhaitait. Et ici, il ne demandait qu'une promesse. Une simple promesse. La jeune femme esquissa un sourire avant de lever les yeux de l'écran de son cellulaire suite à l'intervention de l'homme qui se trouvait être son petit ami. « Un message ? Qui était-ce ? » Il fronçait les sourcils espérant faire pression sur la jeune femme afin de savoir qui était cette mystérieuse personne qui, depuis plusieurs minutes qui semblaient être une éternité, pouvait bien mettre sa bien-aimée dans un état pareil. Et même s'il avait sa petite idée, il ne supportait pas qu'un autre que lui ne la fasse rire, ne sache la rendre heureuse. Il en devenait presque paranoïaque et c'est pourquoi la jeune femme prénommée Esmeralda ne releva pas et haussa les épaules. « Oh personne. Une connaissance. Tu ne veux pas savoir. Alors tu souhaitais que je te fasse une faveur si j'en crois mon bon sens ? » Elle posa son portable sur la table basse et attrapa un magasine posé là, qu'elle commença à feuilleter sous les yeux ébahis de son amant. Ce serait mentir que de dire que la jeune femme n'était pas une personne attentive, mais elle ne pouvait tout simplement pas s'asseoir là, en face de son interlocuteur, le regarder dans les yeux et l'écouter parler durant des minutes entières. « Oui, une connaissance. » Bien sûr que non. Il savait pertinemment qui était cette dite connaissance, il en mettrait même sa main à couper. Vittore, très certainement. Le meilleur ami de sa fiancée. Un des nombreux hommes dont il ne supportait pas la compagnie. Le plus dangereux. Celui qui pourrait briser son couple. Il pouvait sembler égoïste, mais il eut du chemin à parcourir avant de tomber sur la source de son bonheur: Esmeralda. Elle lui avait redonné goût à la vie et il lui en était reconnaissant. Il ne voulait juste pas la voir partir, lui impuissant, elle, enlevée par un autre. Il se décida enfin à la rejoindre sur le canapé avant de la déshabiller du regard. Elle releva la tête. « Je t'écoute, dis-moi tout. Je vois bien que quelque chose te dérange. » Un fin sourire se dessinait sur ses lèvres tandis qu'elle se retournait vers Lorenzo et posait une main délicate sur son visage. Elle le dévisagea un instant du regard avant de s'approcher légèrement de lui et lia son front à celui du jeune homme. « Si c'est à propos de toute cette histoire avec Vittore... tu n'as pas à t'en faire, c'est toi que j'aime, c'est toi que j'ai choisi. Il n'est nul autre que mon meilleur ami. » Ellé déposa alors un baiser sur les lèvres du jeune homme et pendant un quart de seconde, son regard de perdit dans l'infinité, dans le néant. Bien qu'elle ne voulait l'admettre, ces derniers temps, parler de son meilleur ami avec Lorenzo lui faisait plus de mal que de bien. Il se leva brusquement du canapé, fit les cent pas dans la pièce et d'un revers de la main, fit tomber un cadre photo - une photographie du jeune couple lors de l'une de leurs nombreuses soirées en amoureux - sur son passage. « Vittore ? Tu vois, tu recommences ça. Mais bon sang! Pourquoi tu t'obstines à me parler de lui, à essayer de me rassurer à propos de te sentiments pour moi, à chaque fois que je souhaite te parler d'un problème ? Et tu sais quoi ? Parfois, j'ai l'impression que tu souhaites te convaincre en te disant que tu ne ressens pas pour lui ce que tu ressens pour moi... Oui, je parle de l'amour Esmeralda. Tu l'aimes ce salaud, hein ? » Lorenzo ne portait pas Vittore dans son cœur, c'était bien connu. Il ne pouvait plus rester sur place et lançait de temps un autre un regard désespéré à sa bien-aimée. Quant à elle, elle ne savait plus que dire. Ce n'était d'ailleurs pas la première fois qu'il se disputait quant à ce problème. Lorenzo était persuadé qu'Esmeralda était amoureuse de son meilleur ami, Vittore. Elle avait bien essayé de le rassurer et ce, de toutes les manières possibles et inimaginables, mais il ne voulait pas comprendre. « Tu te fiches de moi ? Combien de fois j'ai tenté de te rassurer sur mes sentiments, de toutes les manières possibles et combien de fois tu es venu me voir afin de me parler de lui et de ce que je pourrais éventuellement ressentir à son égard. C'est mon meilleur ami, merde! Et tu es celui que j'aime. Nous sommes bien ensemble là, non ? Ne t'ai-je pas répété maintes fois que je ferais tout ce qui était en mon pouvoir pour te garder près de moi ? » Plus aucun moyen de lui faire comprendre que c'était avec lui qu'elle voulait être et pas un autre homme. Du moins, c'est ce qu'elle pensait chaque fois qu'elle était seule. Il vint se rasseoir à ses côtés moins d'une minute, se releva, tendit sa main à Esmée qui l'attrapa et posa ses mains autour du visage de la jeune femme. « Si, je suis sûre que si. Il y a autre chose. Cette chose qui me prouvera que je suis le seul et l'unique. Tu es vraiment prête à l'entendre ? Après tout, tu as dit être prête à tout pour nous. » Ses mains abandonnèrent le visage d'Esmée. Elle n'aimait pas du tout cette situation et elle pressentait qu'elle allait vite regretter cette décision. Alors elle décida à le contredire, mais se ravisa et obtempéra. « Oui, à tout. Je t'écoute. » Alors qu'elle baissait le regard, craintive, elle sentit la main de Lorenzo se glisser sous son menton, il releva sa tête et prit de nouveau la parole. « D'accordn ça ne va pas être facile à entendre pour toi. Bien, je souhaiterais que tu n'adresses plus la parole à Vittore. Que tu l'oublies. Tu vois bien qu'il n'est pas sain, ne crois pas tout ce qu'il pourrait te dire, laisse-le se faire du mal tout seul, ne le laisse pas t'emporter dans cette galère. Tu vaux mieux que ça. Il te faut un type qui ne te veuille que du bien Esmée et tu le sais. Laisse-moi être ce gars là. » Elle s'était alors prise une grande claque dans la gueule. Elle ne pouvait pas accepter cela, si ? C'était inhumain de demander cela à quelqu'un et pourtant, elle ne savait que répondre. Elle aurait dû refuser dès le départ sachant clairement que Vitto avait besoin d'elle pour l'aider à sortir de cette mauvaise passe. « Tu sais que tu me fais du mal en me demandant cela, hein ? Je ne peux pas, je... vais y réfléchir, mais je ne te donnerai pas de réponse aujourd'hui. Laisse-moi encore un peu de temps. » Il déposa un baiser sur son front, sourit - sourire qu'Esmeralda eut bien du mal à lui retourner - et la prit dans ses bras. « Tu verras, c'est mieux comme ça. » A ces mots, Esmeralda se détacha violemment de son étreinte. « Uh, je dois y aller, je reviens. J'ai complètement oublié que j'avais un coup de fil à passer pour une amie. Tu sais, pour son opération dont je t'avais parlé ? A tout à l'heure donc. Je... t'aime. »

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Tosca Gagliardini, sœur d'Esmeralda Gagliardini qui ne lui ressemblait pas du tout. L'une était blonde, l'autre était brune. L'une avait une enfant, l'autre n'arrivais déjà pas à faire son choix entre deux hommes... cependant, malgré ces quelques petites différences, beaucoup les rapprochaient, elles savaient se soutenir dans n'importe quelle situation. Et cette fois-ci, c'est Esmeralda qui avait besoin de sa sœur. Elle avait besoin qu'on lui dise que tout irait bien, qu'elle ne s'inquiétait pour rien, qu'elle avait connu pire, que ce n'était juste qu'une mauvaise passe et rien de plus. Qu'elle trouverait une solution. Elle avait besoin de l'aide de Tosca. Elles se confiaient tous leurs petits secrets, leurs problèmes sans avoir peur d'être jugée par l'autre. Esmeralda pouvait compter sur sa sœur, alors elle se décida à aller la voir, suite à la discussion houleuse qu'elle avait entretenu avec son petit ami quelques heures plus tôt. Elle se présenta donc chez Tosca et frappa plusieurs fois contre la porte avant que sa blonde de sœur ne vienne lui ouvrir la porte. A peine la porte ouverte, laissant découvrir une Tosca sur le bord du rouleau, Esmeralda se précipita dans les bras de sa sœur, le visage noyé de larmes. « Esmée, que s'est-il passé encore ? » Voyant que la jeune femme ne lui répondait pas, elle continua sur sa lancée. « Encore la faute d'un de ces hommes, hein ? Vittore ou Lorenzo cette fois-ci ? Ou peut-être les deux. Tu devrais les plaquer tous les deux tiens! Je ne veux pas t'accueillir sous mon toit en pleurs à chaque fois que tu viens me rendre visite. » Esmeralda se dégagea de l'étreinte de sa sœur et esquissa difficilement un sourire avant de faire disparaître, d'un revers de la main, les quelques larmes qui s'évertuaient à noyer son visage. Tosca laissa passer la jeune brunette et ferma la porte derrière elles. Elle alla retrouver Esmeralda dans le séjour, attrapa sa main et la fit asseoir sur le canapé où elle la rejoignit. « Tosca, je ne sais plus quoi faire. Quoi que je fasse ou que je dise, je suis effrayée à l'idée de perdre l'un ou l'autre de ces abrutis. Tu penses que je mérite leur amitié ou leur amour ? » demanda-t-elle alors que sa sœur fronça les sourcils avant de la sermonner une nouvelle fois. « Esmée bon sang! Je t'ai déjà demandé de ne pas te rendre coupable de tous leurs faits et gestes. Et ne dis plus jamais cela, s'il y a bien quelqu'un qui ne te mérite pas, c'est bien eux. Chaque fois que tu viens frapper à ma porte afin de chercher de l'aide, en pleurs, tu me parles d'eux, n'est-ce pas ? Je ne pense pas que ce soit toi qui les fasse souffrir. Et puis tu sais, les hommes... » Esmeralda acquiesça de la tête et sourit, mais elle n'était pas encore tout à fait rassurée. Elle voulait éliminer tous ces doutes qui assaillaient son esprit. Elle voulait être libre de ses choix, elle n'avait pas besoin de se sentir prisonnière de sa conscience. « Tu as raison. Je vais cesser de m'apitoyer sur mon sort. » Tosca lui adressa un sourire malicieux et pleine d'assurance, elle ajouta: « Bien sûr que j'ai raison. Comme toujours. Et ça tombe bien que tu sois là, j'ai un service à te demander. Considère plutôt cela comme un devoir. Tu dois garder ta nièce, j'ai quelques courses à faire. Tu es notre invitée ce soir et je ne veux rien entendre. N'ose surtout pas contester mon autorité. D'ailleurs, tu peux commencer à préparer la table si tu le souhaites. Oh et si tu pouvais passer l'aspirateur d'abord, tu serais un ange. Je plaisante va, ne fais pas cette tête. On se revoit dans une vingtaine de minutes. » Elles rirent en chœur, Tosca se leva, attrapa son sac et ses clés et hurla avant de sortir. « Au fait, je ne plaisantais pas. Tu me dois une fière chandelle très chère. Pour toutes ces fois où je te suis venue en aide. Ah, enfin libre pour quelques heures. » Esmeralda se leva brusquement. « Heures ? »

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Je crois que j'ai mis tous ceux qu'il fallait ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 306453

Y a meme Manitas de la Bitas dis donc : ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 911131

Invité

Yay, c'est trop beau. Je suis toute chamboulée. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 19643

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Muy bonita señorita, HEY! ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 911131

Ta bannière. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 665740

Invité

Faut que j'en refasse une. Avec d'autres photos qui s'accordent bien. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 400660

Comme ça, j'en mettrais une dans ma prés. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 665740

Invité

OUAIS.

Faut plus que je trouve ces photos. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 911131

J'aimerais être aussi douée. Laughing

Invité

Douée ? Heureusement, tout est relatif dit-on.

Non sérieusement, merci ma Warrior. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 665740

Mais si, doute pas de ton don. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 33239

De rien, ma sadique. Tiens si t'es sur msn, j'ai bien envie de t'emmerder. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 555614

Invité

Un don, non mais. Laughing

Oh comme c'est adorable. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 389935

Allez viendre, je t'attends. ESMERALDA GAGLIARDINI; we might as well be strangers. 564338

» TOSCA GAGLIARDINI; Even if it's a lie, say it will be alright